Vendredi 13 novembre, au lendemain d’un double attentat-suicide qui a causé la mort de 43 personnes, dans la banlieue sud de Beyrouth, la totalité des écoles et des universités du Liban devaient rester fermées en signe de deuil. Cette mesure, jamais prise jusque-là en dépit des nombreuses attaques qui ont secoué le pays depuis le début de la crise syrienne, en 2011, témoigne de l’émotion suscitée par l’attaque revendiquée par l’organisation État islamique (EI).
LIBAN - Rattrapé par la guerre en Syrie
17 novembre 2015 - par
Le Monde