« J’ai passé quinze mois à écrire ce roman, sans arrêter. Quand j’écris, je ne suis plus moi. Je suis juste quelqu’un qui porte en lui quelque chose qui doit être raconté. » Au bar du Lutetia, Chahdortt Djavann impressionne par sa détermination, son entièreté, son français aussi, clair et précis.
Chahdortt Djavann : "le français est ma patrie"
21 décembre 2020 - par
L’Obs