En 2020, le Pavillon Habib Bourguiba (PHB) a ouvert ses portes à la Cité universitaire. Alors que les responsables jugent qu’il s’agit d’une « belle réussite architecturale », beaucoup de résident.e.s se plaignent d’une situation « invivable », d’une « chaleur insupportable », de « l’extrême niveau de bruit », ainsi que d’autres défauts architecturaux. S’agit-il alors de « petits défauts de jeunesse » comme le dit le directeur de la maison, Tahar Battikh, ou de « problèmes structurels » comme le dénonce un résident ? Résidente au PHB, je suis allée à la recherche d’une réponse.
La nouvelle Maison de la Tunisie fait des émois
12 avril 2022 - par
Cité Unie