francophonie, OIF, Francophonie, Organisation Internationale de la Francophonie, langue française, diplomatie culturelle, littérature, théâtre, festival, diversité culturelle, les francophonies

MENU
Congrès de l’Acfas, la touche finale en photographies légendées
Partenariat Agora / UQO

Congrès de l’Acfas, la touche finale en photographies légendées

27 juin 2019 - par Jonathan Nkubito Nindorera 
 - © Nindorera Jonathan Nkubito
© Nindorera Jonathan Nkubito
L’entrée du bâtiment de Lucien-Brault à Gatineau, l’un des multiples lieux où s’est tenu le 87e congrès de l’ACFAS entre le 27 et le 31 mai derniers.
C’est pour moi le début d’une nouvelle expérience, tant dans la participation à un congrès scientifique pendant une semaine entière, que dans l’apprentissage du photojournalisme. Je m’appelle Jonathan Nkubito Nindorera, et je vais vous faire vivre mon expérience en tant que photojournaliste ainsi que celle de mes collègues étudiant. e. s. en communication à l’Université du Québec en Outaouais lors du congrès de l’ACFAS pendant lequel nous sommes devenu. e. s. des journalistes en herbe. Voici un reportage photo qui représente pour moi mes 6 moments préférés de ce congrès qui s’est déroulé en mai, où j’ai pris 504 photos pour documenter l’événement

À gauche, Nicolas Martin, journaliste de France Culture, interviewé sur la vulgarisation la science pour le grand public par Given M’baya Noungoussi - étudiant en communication à Université du Québec en Outaouais.
Je trouve ici intéressant le regard chaleureux et intéressé de la part de Nicolas Martin devant un étudiant qui vit sa première expérience d’entrevue professionnelle. Ce n’est pas une tâche facile, mais grâce à ce respect et cette attention exercés entre deux personnes en tant qu’êtres humains avant d’être journaliste, l’entrevue a pu se dérouler avec aisance et fluidité.

Pour en savoir plus, consultez l’article de Marie-Frédérique Lemieux-Simard, étudiante à l’Université du Québec en Outaouais.


« Et le papa dans tout cela, un facteur de risque ou de protection ! », un colloque présenté par Diane Dubeau, professeure en psychoéducation et psychologie, Université du Québec en Outaouais et ici, Annie Devault, professeure en service social, UQO, et couvert par Given M’baya Noungoussi. Je me suis présenté au congrès scientifique de l’ACFAS en pensant qu’il ne serait question que des résultats de recherche, d’avancement technologique ou encore de l’impact que celles-ci ont sur la vie de tous les jours. Pourtant il aborde beaucoup plus de sujets divers et intéressants tels que les traumatismes crânio-cérébral léger lors de la pratique du soccer ou, encore, tel que pendant ce colloque, un aspect psychologique qui énonce « les caractéristiques des pères et de leurs environnements de vie qui fragilisent ou soutiennent l’exercice de leur paternité. »

À lire sur le site de l’Acfas et consulter l’article de Given M’baya Noungoussi, étudiant à l’Université du Québec en Outaouais.


À gauche Luba Elliot, conservatrice, artiste et chercheuse sur l’intelligence artificielle, et à droite Néhémie Racius, étudiante à l’Université du Québec en Outaouais, lors de la table ronde de réseautage « Inclusion, démocratie et gouvernance de l’intelligence artificielle ». On constate la complicité et le partage de la nervosité et l’enthousiasme entre deux jeunes femmes qui participent, pour Luba sa première présentation en français (elle est originaire de Russie) et pour Néhémie, à sa première présentation dans un congrès scientifique.

Pour en savoir plus, consultez l’article de Néhémie Racius, étudiante à l’Université du Québec en Outaouais.


Vincent Masseau (Université McGill) et Maxime Faddoul (Université de Montréal) lors d’une table ronde à la suite du colloque « Intersection et parcours d’immigration et des identités LGBTQ ». Ce fut un moment rempli d’intensité, d’émotions et de partage de connaissance sur la vie d’une communauté (LGBTQ) qui, aux yeux du public semble s’être améliorée, mais, qui, au final, n’est pas aussi acceptée qu’on ne laisse croire. J’ai apprécié le regard de ces personnes qui ouvrent leur cœur à un public qui, par ces paroles ressenties, se voient transformé et responsable lui aussi de continuer à faire des gestes au quotidien qui mèneront ultimement vers une société plus inclusive.

Pour en savoir plus, consultez l’article de Lydie Esther Matamba, étudiante à l’Université du Québec en Outaouais.


De gauche à droite : Kharoll Ann Souffrant (Université McGill) et Janie Dolan (Université de Montréal), en entrevue avec Gessyca Bikakoudi (étudiante à l’Université du Québec en Outaouais). Mmes Souffrant et Dolan mènent une discussion fondamentale sur le respect de la femme, et plus précisément comment il est important de traiter les femmes victimes d’agression sexuelle avec dignité. Car, malheureusement, c’est souvent cette peur du regard porté par les autres envers ces victimes, qui les empêchent de pouvoir se relever d’une agression et souvent, dévoiler avoir été une victime.

Pour en savoir plus, consultez l’article de Gessyca Bikakoudi, étudiante à l’Université du Québec en Outaouais.


Dominique Diouf, chercheur au Centre d’étude en responsabilité sociale et écocitoyenneté du Collège Rosemont à Montréal lors de la table ronde « Inclusion démocratie et gouvernance de l’intelligence artificielle », développe avec conviction et panache son argumentation sur l’algorithme des intelligences artificielles, et comment sa création devrait englober une plus grande diversité de scientifiques pour permettre une utilisation des intelligences artificielles plus démocratique et juste.

Pour en savoir plus, consultez l’article de Néhémie Racius, étudiante à l’Université du Québec en Outaouais.

Partagez cette page sur votre réseau :