Oui, je suis un dictateur, du moins, c’est bien ainsi que me voient mes étudiants lorsque en début de session je leur fais signer un document qui spécifie noir sur blanc qu’ils s’engagent à ne pas consulter leur téléphone intelligent dans ma salle de cours, et ce, dès qu’ils y mettent les pieds.
Dans ma classe, je suis un dictateur !
22 février 2018 - par
Le Devoir