S’il y a un spectacle qu’il ne faut pas rater aux Zébrures d’automne à Limoges c’est bien Congo Jazz band. Un texte poignant signé Mohamed Kacimi. Il explore les crimes du colonialisme belge jusqu’à l’indépendance du pays en 1960. Comme le dit le personnage principal, « au Congo tout commence et se termine par de la musique ». Rumba, reggae, jazz, autant de rythme pour donner de l’oxygène à l’histoire congolaise, saturée de violences.
De la rumba et du jazz pour les 10 millions de morts congolais sous le joug de Léopold II - Project-île / France - Océan Indien
26 septembre 2020 - par
Project-iles