À quelque chose malheur est bon, veut le dicton. Ainsi de la décision du gouvernement Ford de sabrer les services aux francophones, qui a eu l’effet d’un coup de fouet pour les communautés du pays. Une bonne chose, disent plusieurs : malgré le recul annoncé vendredi soir, les combats demeurent nombreux.
Doug Ford, le rassembleur de la francophonie
27 novembre 2018 - par
Le Devoir