En saison hivernale, le climat caractéristique de Conakry est bien connu : pluvieux, chaud et humide. Le visage de la ville également : moche ! Mais en ce début juillet 2018, ce ne sont pas seulement l’humidité envahissante, la folle montée du mercure et l’abondante pluviométrie qui rendent la capitale invivable. C’est aussi les manifestations violentes, les routes barrées, les pneus brulés à même la chaussée, la montée de la délinquance urbaine et les fossés qui débordent des déchets non ramassés. Situation emblématique d’une crise à l’échelle nationale.
Inquiétante coagulation de crises
30 juillet 2018 - par
droitlibre.net