Chez Nada Boulos el-Assad, on avait été longtemps réticents au web. Il y avait d’abord le charme des vieilles maisons où la commissaire-priseuse a toujours aimé organiser ses ventes. Il y avait aussi le désir de la petite communauté de collectionneurs libanais de se retrouver lors d’adjudications « réelles » afin de mieux humer les tendances du marché. Mais l’année 2020 a tout changé.
La crise dope les ventes d’art en ligne
15 décembre 2020 - par
Le Commerce du Levant