« L’anxiété m’a envahi hier et depuis elle ne me quitte plus. Je n’ai pas dormi de la nuit. Ça m’a brisé le cœur, ce qui est arrivé », confie Moe Hamandi, originaire du Liban. Si le jeune homme de 30 ans s’est installé depuis une dizaine d’années à Montréal, à des milliers de kilomètres de Beyrouth, il a vécu en direct la détresse de sa famille qui vit toujours dans la capitale libanaise, non loin du port où les explosions ont eu lieu.
La diaspora libanaise entre inquiétude et désespoir
6 août 2020 - par
Le Devoir