Izza Aït Ammi Mouh, comme les cueilleuses de son équipe, gagne 3 dirhams (environ 0,28 euro) pour chaque kilo de roses ramassées à la main, avant la distillation en eau florale ou en huile essentielle, précieux extrait vendu au Maroc jusqu’à 15 000 euros le kilo. « On gagne juste de quoi vivre », souffle-t-elle, mains gantées contre les épines, tête couverte contre le chaud soleil printanier de la « vallée des roses », dans le sud du royaume.
La « vallée des roses » rêve d’un label bio
4 mai 2021 - par
Le Monde Afrique