« Il n’y a plus de branchements télé, et je comprends la compagnie privée qui a arrêté ce service, dit M. Gendron. Il n’y a pas de wi-fi non plus dans l’aile spécialisée. On ne peut pas fournir de poste radio aux patients. Ils n’ont pas de visite, et nous-mêmes devons éviter d’entrer dans leur chambre trop longtemps. C’est très triste de voir ces gens regarder le plafond toute la journée. Ils n’ont même pas accès à l’information qui les concerne. Ils ne peuvent pas regarder la conférence quotidienne du premier ministre.
Le plus difficile pour les aînés, c’est l’absence des autres
31 mars 2020 - par
Le Devoir