Le 22 septembre 1975, Nicolas Bouvier fait un appel du pied à la Municipalité de Genève, lui suggérant de prévoir « des cases d’affichage blanches pour un gars » comme lui. « Et puis, ajoute-t-il, on me payerait des affiches qui ne signifient rien du tout, qui ne vendent rien du tout, qui sont juste là pour faire rêver les gens (…) Vous trouveriez cela entre des oranges et des marques de chaussures, et puis vous auriez l’art dans la rue. »
Le rêve de Nicolas Bouvier devient réalité dans les rues de Genève
23 septembre 2018 - par
La Tribune de Genève