Au cœur de l’été 2014, le groupe montréalais Dead Obies, alors au faîte de sa gloire, devenait le bouc émissaire des problèmes linguistiques au Québec. La raison ? Son usage du « franglais » dans les textes de ses chansons qui, aux oreilles d’une poignée de commentateurs, étaient devenues le symptôme du déclin de la langue française au Québec. Que retenir de cette polémique ?
Les leçons de la polémique du franglais dans le rap québécois
6 avril 2021 - par
Le Devoir