Au pays du Cèdre, des amoureux du français veillent à son bon usage. Une tâche exigeante sur un territoire où trois langues se côtoient parfois dans une même phrase... À l’ombre des pentes hérissées d’immeubles, poudrées d’oliviers et parfois de neige qui glissent jusqu’aux rives libanaises de la Méditerranée, la langue française peut compter sur les services d’un gardien zélé : Fadi Hawa, les yeux rieurs, la barbe soignée, l’oreille vigilante au moindre accroc infligé au français.
LIBAN - Les gardiens dévoués du français
1er août 2017 - par
La Croix