D’ordinaire laissé à l’abandon, le site ressemble désormais à une véritable fourmilière humaine. Masques sur le nez et gilets fluorescents sur le dos, une armée de volontaires s’activent derrière les barrières de sécurité installées à l’entrée du parking de l’ancienne gare ferroviaire de Mar Mikhaël.
« Nous sommes en train de sauver Beyrouth car personne ne le fait à part nous »
25 août 2020 - par
L’Orient le Jour