« Je me souviens que ma plus jeune, la seule qui est née ici, ne voulait pas parler le français ni l’arabe. Elle voulait juste parler l’anglais », se souvient Louis Kdouh. « Ça a duré jusqu’à ses cinq ans, mais on a tenu le coup. Mais je rencontre beaucoup de parents qui me disent se sentir coupables de ne pas avoir réussi à maintenir cette exigence. »
Pas toujours facile de transmettre le français en contexte minoritaire
10 février 2019 - par
ONfr