Pour Farah Baba, 26 ans, l’aggravation des pénuries d’eau à Beyrouth pèse de plus en plus lourd sur son temps et son énergie. Cette chargée de communication pour une ONG, qui vit avec ses parents à Hamra, était déjà habituée aux coupures régulières de l’approvisionnement public en eau. Comme l’immeuble n’a pas de puits privé, sa famille avait pris l’habitude d’acheter de l’eau livrée par un camion itinérant, mais même cela n’est plus une alternative facile.
Pourquoi les pénuries d’eau sont-elles plus sévères à l’ouest qu’à l’est de Beyrouth ?
6 septembre 2022 - par
L’Orient le Jour