Une ville en ruine, un pays endeuillé, et une colère sourde qui accompagne la nécessité de survivre et de continuer. En dépit d’un contexte émotionnel paroxystique, la photographe libanaise Vicky Mokbel partage son expérience humaine et artistique dans les rouages du port de Beyrouth avec sa superficie totale d’1,2 Km2, ses quatre bassins et ses 16 quais soufflés par la double explosion du 4 août.
Quand le port de Beyrouth inspirait la photographe Vicky Mokbel
7 août 2020 - par
L’Orient le Jour