"... La progression du jihadisme dans la bande centrale du Sahel, où les densités de populations sont plus importantes, a fait évoluer la composition de ces groupes. Les populations arabes ou touarègues y sont moins nombreuses, au contraire notamment de la communauté peule, fortement représentée au sein des groupes jihadistes, qu’il s’agisse de JNIM ou de l’EIGS. Si l’emphase est souvent mise sur la communauté peule, il faut rappeler que les groupes jihadistes recrutent au sein de toutes les communautés sans exception..." Entretien avec l’analyste Mathieu Pellerin
Qui sont les jihadistes en Afrique de l’Ouest ?
1er février 2020 - par
RFI