La famille Alkarez, originaire de Syrie, s’est rapidement sentie chez elle après son arrivée à Saint-Hyacinthe en décembre 2016. Les nouveaux souvenirs qu’elle bâtit jour après jour, depuis cinq ans, lui permettent de mettre un baume sur les plaies causées par la guerre qui l’a déracinée en 2013.
S’enraciner à Saint-Hyacinthe, après avoir fui la guerre en Syrie
30 mars 2021 - par
Le Devoir