"L’employée tunisienne fait son travail, et peu à peu, sa carapace se fissure, elle commence à regarder vraiment l’homme qu’elle a en face d’elle. La suite du film l’oblige à sortir de derrière son bureau, et donc à quitter son rôle et sa fonction. Elle devient alors un être humain en face d’autres êtres humains. Comment refuser d’aider d’autres êtres humains en détresse ?", dit le réalisateur.
« Tunisie 2045 », le court-métrage qui fait de la Tunisie
une terre d’accueil pour les réfugiés européens
4 janvier 2016 - par
Le HuffPost