C’est Raïf Badawi lui-même qui raconte l’anecdote depuis la prison d’Arabie saoudite où il croupit : un jour, le jeune blogueur saoudien emprisonné pour délit d’opinion et blasphème va aux toilettes et s’étonne d’y trouver sur les murs sales, entre papier souillé et excréments, un graffiti placé au milieu d’une centaine d’autres. Il lit : « La laïcité est la solution ».
CANADA / QUEBEC / Arabie saoudite, le fouet et dix ans de prison pour ça
21 juin 2015 - par
Le Devoir