Couronné par le prestigieux prix Amadou Kourouma pour son troisième roman Le Tambour des larmes (Elyzad - 2015), l’écrivain mauritanien Beyrouk s’est imposé comme l’une des grandes plumes des lettres africaines. Empreint de lyrisme et convoquant des personnages de femmes à la fois lumineux et puissants, les romans de Beyrouk mettent en scène des sociétés patriarcales sahariennes se frayant difficilement leur chemin vers la modernité. Son nouveau roman Je suis seul raconte le triste destin d’une cité du désert tombée aux mains des fanatiques religieux.
Beyrouk raconte les sociétés maures aux prises avec le fanatisme
27 novembre 2018 - par
RFI