Génocide. Voilà le mot qu’on utilise désormais pour désigner le sort réservé aux femmes autochtones au Canada. Même si l’Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées n’a pas été hautement médiatisée en France, c’est à partir de Paris que l’autrice Monica Sabolo en a pris connaissance, tétanisée d’effroi devant les pages de son journal quotidien.
Dans une réserve autochtone imaginaire avec Monica Sabolo
19 octobre 2019 - par
Le Devoir