Les développements en Tunisie, pays souvent représenté comme le seul où a réussi le Printemps arabe, ont suscité l’inquiétude à l’étranger. La France a dit souhaiter un « retour dans les meilleurs délais à un fonctionnement normal des institutions » et a appelé à éviter toute violence, tandis que les États-Unis, « préoccupés », ont appelé au « respect des principes démocratiques ».
L’avenir politique projeté dans l’inconnu
27 juillet 2021 - par
Le Devoir