« Où vais-je l’enterrer ? A côté de l’homme sans tête ? Vers la femme coupée en deux ? Proche de l’homme dont il ne reste que le bassin et la jambe ? A droite des deux corps dont on a, exceptionnellement, prélevé l’ADN ? » Cette ritournelle macabre, Chamseddine Marzoug la tourne dans sa tête chaque fois qu’il ramène un corps de migrant en décomposition...
Le vivant qui recueillait les morts
sur la côte tunisienne
7 juillet 2017 - par
Libération