On se rappellera qu’en 2014, lorsqu’elle s’est lancée dans la campagne pour accéder à la direction de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), Michaëlle Jean promettait de faire de la Francophonie une organisation toujours plus agissante, dans un monde en plein bouleversement et en perpétuel changement. Quatre ans après, a-t-elle tenu sa promesse ?
À la défense de Michaëlle Jean
pour le rayonnement de la Francophonie
2 juin 2018 - par
Le Devoir