Un groupe de chercheurs de l’Université Laval de Québec et de l’Université de Toronto — Scarborough a révélé que les femmes enceintes du Nunavik présentaient des concentrations deux fois plus élevées de composés chimiques potentiellement associés à certains problèmes de santé que le reste de la population canadienne.
De hauts niveaux de polluants décelés chez les femmes enceintes du Nunavik
24 novembre 2020 - par
L’aurore boréale